NLC
"Le Crépuscule des Souris"
(Musique Moléculaire)
Il est des albums qui, dès les premières notes, vous happent dans un univers parallèle, où le temps et l'espace se plient aux lois de la musique. "Le Crépuscule des Souris" de Nouvelles Lectures Cosmopolites, projet musical de Julien Ash, est de ceux-là. Ce disque, paru sur le label montréalais Musique Moléculaire, est une expérience sensorielle à part entière, une odyssée sonore qui vous transporte dans des contrées inexplorées de l'imaginaire musical.
Dès la première piste, une collaboration avec Erwann Mercier, l'auditeur est plongé dans un monde de drone, de dark ambient et de néo-classique, avec des touches de noise et de dark wave. Cette première pièce de 18 minutes est une véritable symphonie, une exploration des sonorités et des textures qui évoque à la fois le chaos et la beauté de la nature.
Les collaborations avec François Porte et Aloïs L. apportent une richesse supplémentaire à l'album, avec des compositions qui oscillent entre la mélancolie et l'étrangeté. La synergie entre les différents musiciens est palpable, et chaque piste est une nouvelle découverte, un nouveau voyage dans l'univers de Nouvelles Lectures Cosmopolites.
Mais c'est avec la pièce "Le Crépuscule des Souris (Part 1)" que l'album atteint des sommets. Cette composition majestueuse, qui mêle habilement les musiques classiques et électroniques, est une véritable splendeur. Elle ouvre l'album sur une note sublime, et donne le ton pour le reste de l'œuvre.
La deuxième partie de l'album, "Le Crépuscule des Souris (Part 2)", est une continuation de cette exploration musicale, avec des compositions qui évoquent à la fois la féérie et l'angoisse. La flûte lancinante et les inflexions orientales de cette pièce sont particulièrement remarquables, et témoignent du talent de Julien Ash et de ses collaborateurs.
Enfin, la pièce qui clôt l'album, "Die Blume, die alle Ratten gefällt", est un véritable tour de force. Cette composition, qui débute dans des orchestrations sublimes pour finir dans des crépitements électroniques, est une synthèse parfaite des différents styles explorés tout au long de l'album.
En fin de compte, "Le Crépuscule des Souris" est une immersion totale dans un univers sonore unique en son genre. C'est un testament à la puissance de la musique pour nous transporter, nous émouvoir et nous transformer. Dans un monde où tant de voix crient dans le vide, c'est une rareté précieuse : un appel à l'écoute attentive, à la contemplation profonde et à la découverte de soi-même à travers le prisme de l'art.
Alors, si vous cherchez une musique qui vous fera voyager au-delà des frontières de l'ordinaire, ne cherchez pas plus loin que "Le Crépuscule des Souris" de Nouvelles Lectures Cosmopolites. C'est une expérience que vous n'oublierez pas de sitôt.
Prochainement en programmation dans Solénoïde, émission des musiques imaginogènes diffusée sur 30 radios/50 antennes FM-DAB !
Liens :
musiquemoleculaire.com
Dès la première piste, une collaboration avec Erwann Mercier, l'auditeur est plongé dans un monde de drone, de dark ambient et de néo-classique, avec des touches de noise et de dark wave. Cette première pièce de 18 minutes est une véritable symphonie, une exploration des sonorités et des textures qui évoque à la fois le chaos et la beauté de la nature.
Les collaborations avec François Porte et Aloïs L. apportent une richesse supplémentaire à l'album, avec des compositions qui oscillent entre la mélancolie et l'étrangeté. La synergie entre les différents musiciens est palpable, et chaque piste est une nouvelle découverte, un nouveau voyage dans l'univers de Nouvelles Lectures Cosmopolites.
Mais c'est avec la pièce "Le Crépuscule des Souris (Part 1)" que l'album atteint des sommets. Cette composition majestueuse, qui mêle habilement les musiques classiques et électroniques, est une véritable splendeur. Elle ouvre l'album sur une note sublime, et donne le ton pour le reste de l'œuvre.
La deuxième partie de l'album, "Le Crépuscule des Souris (Part 2)", est une continuation de cette exploration musicale, avec des compositions qui évoquent à la fois la féérie et l'angoisse. La flûte lancinante et les inflexions orientales de cette pièce sont particulièrement remarquables, et témoignent du talent de Julien Ash et de ses collaborateurs.
Enfin, la pièce qui clôt l'album, "Die Blume, die alle Ratten gefällt", est un véritable tour de force. Cette composition, qui débute dans des orchestrations sublimes pour finir dans des crépitements électroniques, est une synthèse parfaite des différents styles explorés tout au long de l'album.
En fin de compte, "Le Crépuscule des Souris" est une immersion totale dans un univers sonore unique en son genre. C'est un testament à la puissance de la musique pour nous transporter, nous émouvoir et nous transformer. Dans un monde où tant de voix crient dans le vide, c'est une rareté précieuse : un appel à l'écoute attentive, à la contemplation profonde et à la découverte de soi-même à travers le prisme de l'art.
Alors, si vous cherchez une musique qui vous fera voyager au-delà des frontières de l'ordinaire, ne cherchez pas plus loin que "Le Crépuscule des Souris" de Nouvelles Lectures Cosmopolites. C'est une expérience que vous n'oublierez pas de sitôt.
Prochainement en programmation dans Solénoïde, émission des musiques imaginogènes diffusée sur 30 radios/50 antennes FM-DAB !
Liens :
musiquemoleculaire.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire