LEGRAUX TOBROGOÏ
"Barbarismes"
(Alfred Production/Inouïe Distribution)
Dans l'univers complexe du jazz, il n'est pas rare de puiser dans un passé riche en histoire pour forger le langage musical de demain. Le jazz d'aujourd'hui, en somme, se révèle être un recueil de barbarismes, ces emprunts linguistiques étrangers intégrés dans leur langue natale. C'est précisément cette dynamique qui imprègne le quatrième opus de Legraux Tobrogoï, un sextet toulousain téméraire et créatif, intitulé "Barbarismes".
Les huit compositions originales de Jore, Picault, Poirier et Renoux s'inscrivent dans une affirmation de leur singularité musicale, qui revendique un jazz à l'esprit "Mingussien" tout en préservant sa filiation avec les sonorités rock des années 70. La musique est une toile sur laquelle le groupe tisse des échappées poétiques, trace des bifurcations vers des territoires non balisés et s'aventure dans des embardées collectives.
"Barbarismes" nous entraîne dans un voyage musical inattendu. Les compositions varient entre super héros déchus, fanfares funèbres, ambiances ovines, déserts hard bop, grooves végétalisés, anagrammes douteux, moteurs en 7 temps, et un péplum rock qui décoiffe. À chaque morceau, une histoire nouvelle se dévoile, invitant l'auditeur à explorer les mystères de l'ère des BarbarismeS.
Le groupe est composé de talentueux musiciens, notamment Fabien Duscombs à la batterie, Colin Jore à la contrebasse et à la basse électrique, Tristan Charles Alfred au saxophone baryton, Yvan Picault au saxophone ténor et à la flûte, Nicolas Poirier à la guitare, et Nathanaël Renoux à la trompette.
La qualité sonore de l'album est impeccable, grâce à une prise de son réalisée par Simon Baconnier au studio de la Lune Rouge, un mixage orchestré par Arthur Ower, et un mastering effectué par Raphaël Jonin. Le design du logo est l'œuvre de Jean Mosambi, tandis que les peintures ont été réalisées par Guiome David. Colin Jore a contribué au design de la couverture.
"Barbarismes" transcende les conventions et redéfinit le jazz d'aujourd'hui. Les mélodies révèlent une originalité qui témoigne de la créativité inépuisable de Legraux Tobrogoï. Cet album est un voyage musical à travers des paysages sonores variés et une célébration de l'expérimentation artistique. L'ère des BarbarismeS est là, et elle est captivante.
Liens :
tobroprod.org
facebook
bandcamp
Les huit compositions originales de Jore, Picault, Poirier et Renoux s'inscrivent dans une affirmation de leur singularité musicale, qui revendique un jazz à l'esprit "Mingussien" tout en préservant sa filiation avec les sonorités rock des années 70. La musique est une toile sur laquelle le groupe tisse des échappées poétiques, trace des bifurcations vers des territoires non balisés et s'aventure dans des embardées collectives.
"Barbarismes" nous entraîne dans un voyage musical inattendu. Les compositions varient entre super héros déchus, fanfares funèbres, ambiances ovines, déserts hard bop, grooves végétalisés, anagrammes douteux, moteurs en 7 temps, et un péplum rock qui décoiffe. À chaque morceau, une histoire nouvelle se dévoile, invitant l'auditeur à explorer les mystères de l'ère des BarbarismeS.
Le groupe est composé de talentueux musiciens, notamment Fabien Duscombs à la batterie, Colin Jore à la contrebasse et à la basse électrique, Tristan Charles Alfred au saxophone baryton, Yvan Picault au saxophone ténor et à la flûte, Nicolas Poirier à la guitare, et Nathanaël Renoux à la trompette.
La qualité sonore de l'album est impeccable, grâce à une prise de son réalisée par Simon Baconnier au studio de la Lune Rouge, un mixage orchestré par Arthur Ower, et un mastering effectué par Raphaël Jonin. Le design du logo est l'œuvre de Jean Mosambi, tandis que les peintures ont été réalisées par Guiome David. Colin Jore a contribué au design de la couverture.
"Barbarismes" transcende les conventions et redéfinit le jazz d'aujourd'hui. Les mélodies révèlent une originalité qui témoigne de la créativité inépuisable de Legraux Tobrogoï. Cet album est un voyage musical à travers des paysages sonores variés et une célébration de l'expérimentation artistique. L'ère des BarbarismeS est là, et elle est captivante.
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